A l’instar des demandes reçues par Google, Les États-Unis sont largement en tête des requêtes du gouvernement concernant des données privées de certains utilisateurs Facebook avec entre 11 000 et 12 000 demandes, qui sont liées à environ 20 000 utilisateurs. Cela représente donc près de la moitié de toutes les requêtes dans le monde, mais plus de la moitié des utilisateurs. A noter également que 79 % de ces sollicitations de la justice ont impliqué la divulgation de données sur les utilisateurs. Il s’agit du taux le plus élevé parmi les grands pays, seuls l’Albanie (83 %, 6 demandes), Taiwan (84 %, 229 demandes), Hong-Kong (100 %, une demande) et l’Islande (100 %, une demande) sont devant.
Derrière les États-Unis, on trouve l’Inde (3 245 requêtes), le Royaume-Uni (1 975), l’Allemagne (1 886), l’Italie (1 705) et la France (1 547). Les autres nations se retrouvent loin derrière, avec le Brésil (715), l’Australie (546) et l’Espagne (479). La Chine est tout simplement absente de ce classement, vu que Facebook n’est pas présent dans ce territoire. Pour les autres pays à forte population, le Japon et la Russie sortent du lot avec une simple et unique demande chacun. Le petit pays du Népal devance ces grands pays avec 3 requêtes.
Concernant la France, les 1 547 demandes concernaient 1 598 utilisateurs, ce qui montre que la quasi-totalité des requêtes a été individuelle, alors que d’autres pays, comme les États-Unis, l’Inde, l’Italie, la Malaisie, ou l’Espagne n’hésitent pas à faire des demandes groupées. Seules 39 % de ces sollicitations ont impliqué la divulgation de données. C’est un taux deux fois inférieur à celui des États-Unis et bien en deçà d’autres pays comme le Royaume-Uni, l’Inde et l’Italie. Chaque demande est examinée avec le plus grand soin, selon Facebook, l’entreprise « exige une description détaillée des motifs juridiques sur lesquels est basée la demande ».
Le réseau social assure avoir « mis en place une procédure très stricte pour gérer les demandes gouvernementales. Cette procédure a pour objectif la protection des données des utilisateurs et place très haut la barre juridique à franchir pour que nous acceptions de fournir à un gouvernement des informations ».
La grande majorité de ces demandes sont liées à des affaires criminelles, de vols ou kidnappings. Le basculement de nos sociétés vers le numérique pousse naturellement les autorités à se tourner vers les hébergeurs pour obtenir certaines informations, grâce au fait qu’Internet laisse inévitablement des traces.
Pour faciliter le travail des enquêteurs, les sites internet comme Facebook ou Twitter sont en fait contraints de conserver leurs données pendant au moins un an, à compter de l’enregistrement sous peine de 75.000 euros d’amende et un an d’emprisonnement.
La meilleure façon de garantir que vos données et informations personnelles ne soient pas divulguées à votre insu sur Internet est d’utiliser un service VPN. Le VPN permet de réduire vos mouvements en ligne en remplaçant vos informations de routage, grâce à une adresse IP rendue anonyme. Les serveurs DNS sécurisés gardent le secret des requêtes que vous effectuez, afin que personne ne puisse voir votre historique de navigation. Par ailleurs, votre connexion Internet est cryptée avec un système très fort qui vous protège des pirates et des oreilles clandestines qui tentent d’écouter ou d’obtenir les informations sensibles vous concernant. Votre connexion Internet est cachée derrière les nombreux serveurs Le VPN : quand vous êtes connecté au VPN, personne ne peut accéder à votre ordinateur ou à votre appareil mobile, sans passer par les serveurs protégés du VPN.
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